Un usage récréatif de la dysfonction érectile médicament peut être risqué pour certains COMPLET Bien que les médicaments utilisés pour traiter la dysfonction érectile, le sildénafil (Viagra), tadalafil (Cialis) et le vardénafil (Levitra), ont généralement été prouvé sûr, l'utilisation récréative de ces médicaments est associée à des risques plus élevés de maladies sexuellement transmissibles (MST), y compris HIV. Dans une étude dans le numéro de The American Journal of Medicine, les chercheurs du ministère de la santé publique de San Francisco a évalué 14 études sur l'utilisation de sildénafil chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes (HSH). Les utilisateurs de sildénafil engagés dans des rapports sexuels non protégés avec des partenaires de statut VIH inconnu de deux fois plus souvent à près de six fois plus souvent que les non-utilisateurs. HSH séropositifs étaient presque deux fois plus susceptibles d'être diagnostiqués avec une MST si elles étaient également aux utilisateurs le sildénafil et le nouvellement infectées au VIH étaient 2,5 fois plus susceptibles d'être des utilisateurs. Pour compliquer encore la situation, 54% des utilisateurs mélangé sildénafil avec d'autres médicaments pour améliorer l'expérience sexuelle. Une étude a rapporté que 36% de tous les utilisateurs Sildenafil son utilisation combinée avec d'autres médicaments, y compris les méthamphétamines (23%), l'ecstasy (18%), les poppers (15%), la kétamine (11%), et le GHB (8%). Une étude chez les HSH la recherche de services de centres anti-MST à San Francisco trouvé Sildenafil à être utilisé en même temps que l'ecstasy (43%), les méthamphétamines (28%), et le nitrate d'amyle (15%). Écrit dans l'article, Jeffrey D. Klausner, MD, MPH, suggère que «l'action ciblée est nécessaire pour cibler ce problème de santé publique en cours. Bien qu'il existe la preuve actuelle de l'association que pour sildénafil, probablement en raison de l'approbation relativement récente de Tadalafil et Vardenafil, l'action nécessaire devrait se concentrer sur les trois inhibiteurs de la phosphodiestérase (DJP), que les associations observées avec Sildenafil utilisation la plus probable serait produire avec des médicaments de nature identique. L'étiquetage des PDI devrait être modifié pour avertir les utilisateurs d'un risque accru de MST, y compris l'infection à VIH. Les programmes éducatifs, en particulier chez les médecins, les HSH et les consommateurs de méthamphétamine, devrait être mis en œuvre pour accroître la sensibilisation à l'utilisation de ces médicaments et de leur association avec les MST, y compris l'infection à VIH ". Dans un éditorial d'accompagnement, Joseph S. Alpert, MD, Université de l'Arizona Health Sciences Center, Tucson, est préoccupé par les implications de santé publique lorsque le sildénafil et ses parents sont maltraités ou utilisés à des fins récréatives avec des drogues illégales. Il souligne un récent article publié dans The Lancet dans laquelle les chercheurs de l'Université Rockefeller signalé sur un patient qui a présenté avec une nouvelle souche du virus VIH était considérablement plus virulent et a progressé plus rapidement au sida que tout virus VIH a révélé précédemment. Dr Alpert écrit que "Ce patient avait été abusé fois Sildenafil et la méthamphétamine La question qui sauta immédiatement à l'esprit est:. Quel effet l'abus combinée de ces médicaments n'a eu sur le patient Serait-ce abouti à l'élaboration du VIH hautement virulente? mutant? Est-ce que l'abus de drogues de combinaison augmente la probabilité de la transmission des MST et / ou la propension des rapports sexuels non protégés? " Dr Alpert aussi des questions de savoir si le risque de MST et de rapports sexuels non protégés est également augmenté chez les patients hétérosexuels masculins qui utilisent Sildenafil. Il souligne la nécessité d'accroître le médecin et l'éducation du patient ainsi que poursuite de l'exploration des implications multiples abus de Sildenafil environnantes. L'étude est rapporté dans "Sildenafil utilisation, comportements sexuels à risque, et le risque de maladies sexuellement transmissibles, y compris l'infection à VIH: un avis" par Sean Swearingen, BA et Jeffrey D. Klausner, MD, MPH. Il apparaît avec l'éditorial, «Viagra: Les risques de l'utilisation récréative» par Joseph S. Alpert, MD, dans The American Journal of Medicine, Volume 118, numéro 6, publié par Elsevier.